Contratde travail, appelé contrat de mission, entre l'intérimaire et l'agence d'intérim, qui doit lui être transmis dans les 2 jours ouvrables: titleContent suivant sa mise à disposition; À
Quellesresponsabilités en embauchant en intérim ? En ayant recours à un intérimaire, vous serez responsable de la réalité des mentions du contrat de mise à disposition et des conditions d’exécution du travail. Vous serez également dans l'obligation d'établir une liste des postes à risques, en lien avec le CHSCT et le Médecin du
Sommairede l'article: Étape 1 : S’assurer que l’embauche d’un intérimaire est la réponse adaptée au besoin de main-d’œuvre. Étape 2 : Choix d’une entreprise de travail temporaire, signature du contrat de mise à disposition et lancement de la procédure d’embauche. Étape 3 : Signature du contrat de mission.
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Lecontrat de mise à disposition est un accord de prestation conclu entre l’entreprise utilisatrice et l’entreprise de travail temporaire. Il définit les modalités de cet accord pour chaque salarié intérimaire que l’agence d’intérim met à sa disposition. Ce contrat doit mentionner les informations suivantes :
Formeet mentions obligatoires du contrat de mise à disposition et du contrat de travail temporaire (appelé également « contrat de mission ») 1. Le contrat de mise à disposition entre l’agence d’intérim et l’entreprise utilisatrice a. la forme du contrat. Le contrat de mise à disposition doit être conclu par écrit et signé.
Lecontrat de mise à disposition doit être conclu par écrit, avec des mentions obligatoires, au plus tard dans les deux jours ouvrables qui suivent la mise à disposition. A défaut, le contrat de mise à disposition est nul. En outre, l'ETT et l'EU sont passibles de sanctions pénales. L’ordonnance Macron du 22 septembre 2017 autorise les
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Dispositions légales L. 1251-42 Lorsqu'une entreprise de travail temporaire met un salarié à la disposition d'une entreprise utilisatrice, ces entreprises concluent par écrit un contrat de mise à disposition, au plus tard dans les deux jours ouvrables suivant la mise à disposition. L. 1251-43 Le contrat de mise à disposition établi pour chaque salarié comporte Le motif pour lequel il est fait appel au salarié temporaire. Cette mention est assortie de justifications précises dont, notamment, dans les cas de remplacement prévus aux 1°, 4° et 5° de l'article L. 1251-6, le nom et la qualification de la personne remplacée ou à remplacer ; Le terme de la mission ; Le cas échéant, la clause prévoyant la possibilité de modifier le terme de la mission dans les conditions prévues aux articles L. 1251-30 et L. 1251-31. Cette disposition s'applique également à l'avenant prévoyant le renouvellement du contrat de mise à disposition ; Les caractéristiques particulières du poste de travail à pourvoir et, notamment si celui-ci figure sur la liste des postes présentant des risques particuliers pour la santé ou la sécurité des salariés prévue à l'article L. 4154-2, la qualification professionnelle exigée, le lieu de la mission et l'horaire ; La nature des équipements de protection individuelle que le salarié utilise. Il précise, le cas échéant, si ceux-ci sont fournis par l'entreprise de travail temporaire ; Le montant de la rémunération avec ses différentes composantes, y compris, s'il en existe, les primes et accessoires de salaire que percevrait dans l'entreprise utilisatrice, après période d'essai, un salarié de qualification professionnelle équivalente occupant le même poste de travail. L. 1251-44 Toute clause tendant à interdire l'embauche par l'entreprise utilisatrice du salarié temporaire à l'issue de sa mission est réputée non écrite. Circulaire du 30 octobre 1990 - Le contrat de mise à disposition art. L. 124-3 [L. 1251-42 à L. 1251-44] C'est le contrat passé entre l'employeur de travail temporaire et l'utilisateur. Il est établi par écrit, pour chaque salarié, dans les deux jours ouvrables qui suivent la mise à disposition. L'absence d'écrit entraîne la nullité absolue du contrat et le salarié en mission peut être considéré comme lié à l'utilisateur par un contrat de travail à durée indéterminée. Ce contrat comporte un certain nombre de mentions obligatoires, notamment des informations qui justifient le recours par l'utilisateur au travail temporaire. Ainsi, pour des travaux urgents nécessités par des mesures de sécurité, il convient d'indiquer la nature de ces travaux et de justifier l'urgence par exemple, la réparation de la toiture de l'usine. S'il est fait appel à un intérimaire pour remplacer un salarié, il faut indiquer le nom et la qualification du salarié remplacé. Doivent également être portés au contrat - le terme de la mission et les souplesses » des articles L. 124-2-4 [L. 1251-30] et L. 124-2-6 deuxième alinéa [L. 1251-31] s'il en est fait usage ; - les caractéristiques particulières du poste de travail à pourvoir par exemple horaires en 2 x 8, port de charges, produits employés, situation de l'atelier, etc. et l'indication, le cas échéant, que ce poste figure sur la liste des postes de travail présentant des risques particuliers pour la santé et la sécurité des intérimaires, qui est établie par le chef d'établissement cf. art. L. 231-3-1 [L. 4154-2] ; la qualification professionnelle exigée, le lieu de la mission et l'horaire ; le montant de la rémunération avec ses différentes composantes, y compris les éventuelles primes et accessoires de salaires, qui serait perçu après période d'essai par un salarié de l'entreprise utilisatrice ayant une qualification équivalente et occupant le même poste de travail ; la nature des équipements de protection individuelle que le salarié doit utiliser et le cas échéant, l'indication des équipements personnalisés casques et chaussures de sécurité qui sont fournis par l'entreprise de travail temporaire. Le contrat de mise à disposition peut comporter d'autres clauses, notamment une clause stipulant que pendant la mise à disposition l'utilisateur est le commettant du salarié intérimaire. En revanche, toute clause tendant à interdire l'embauchage par l'utilisateur du salarié temporaire à l'issue de sa mission est réputée non écrite. Les indications portées au contrat de mise à disposition sont données sous la responsabilité de l'utilisateur qui en détient seul les éléments. II s'ensuit que dans l'hypothèse où le contrat ne serait pas conforme aux prescriptions légales renseignements incomplets ou volontairement inexacts, c'est l'utilisateur qui sera poursuivi sur la base de l'article L. 152-2-2°b [L. 1255-10], la responsabilité pénale de l'employeur de travail temporaire ne pouvant être engagée qu'en cas de participation volontaire à la fraude.
Le contrat de travail d’un intérimRupture d’un contrat de travail en intérim, des procédures compliquéesRémunération et suspension de contrat CTT Peut-on arrêter son contrat en intérimaire ? Voilà une des problématiques qu’on se pose. En mettre fin n’est pas techniquement possible, si du côté de l’entreprise il peut avoir un terme précis ou non. Vous avez toutefois le droit d’envisager une rupture anticipée. Dans ce cas, vous aurez quelques conditions à respecter. Le contrat de travail d’un intérim Afin de mieux comprendre les procédures relatives à la rupture d’un contrat en intérim, il est tout juste de revenir sur sa forme. Elle est tout à fait différente des autres CDI, CDD, saisonnier, etc. Cela pour la simple raison qu’elle engage 3 parties au lieu de 2. Lorsque vous souhaitez embaucher un salarié en intérim, vous avez avoir recours aux services d’une entreprise de travail temporaire ETT. Vous devez, en tant qu’entreprise utilisatrice, signer un contrat de mis à disposition. Dans ce contrat de prestation de services, vous allez pouvoir indiquer vos conditions et exigences à l’endroit du futur salarié en intérim. Vous devez aussi y mentionner vos modalités de travail, le poste, la durée précise ou imprécise, etc. Tous les renseignements mentionnés dans ce contrat de mise à disposition seront ensuite transcrits dans un contrat de mission qui sera conclu entre l’intérimaire et l’agence qui l’engage. Rupture d’un contrat de travail en intérim, des procédures compliquées Du côté de l’employeur, un CTT peut être rompu dans certains cas, bien que ce soit toujours assez compliqué. Cela peut par exemple se manifester si le salarié a commis une faute grave. Aussi, l’employé en CTT peut en avoir recours dans la même situation. Cela peut éventuellement se produire en cas de force majeure. Pour le cas du salarié en intérim, il peut être à l’origine de la rupture de contrat dans deux cas précis Pendant la période d’essai où il n’aura pas à préciser le motif de la rupture,S’il peut justifier la signature d’un contrat en CDI. Dans chacune de ces dispositions, il doit toutefois respecter une période de préavis allant d’une journée à une semaine. Tout dépendra du terme appliqué, précis ou non. Cela dit, elle ne doit pas dépasser les 2 semaines. Aucun autre cas ne peut permettre à un salarié en intérim de rompre son contrat. Comme le cadre judiciaire régissant le travail en intérim est particulièrement strict, le salarié concerné peut encourir des dommages et intérêts s’il ne respecte pas ces conditions. Rémunération et suspension de contrat CTT Bien que les conditions d’un salarié en intérim soient précaires, en fin de contrat, il recevra une indemnité de mission, en plus de sa rémunération. Si ce droit lui revient, il peut ne pas avoir lieu dans certaines circonstances. Cela peut éventuellement se produire si l’entreprise utilisatrice l’embauche en tant que CDI à la fin de son contrat CTT, si le contrat est rompu par ce dernier en raison d’une embauche en CDI, etc. Quant à la suspension d’un contrat en intérim, il peut l’être en cas de maladie, d’accident de travail, de maternité, d’adoption ou de congés en corrélation avec des évènements familiaux. Une situation qui ne modifie pas sa date de fin légale. Les conditions sont à peu près les mêmes que celles d’un contrat en CDI. Par ailleurs, comme tout travailleur français, il a aussi le droit fondamental de grève. S’il décide de le faire, il ne doit être ni sanctionné ni licencié. La loi interdit même d’engager un travailleur en intérim pour remplacer des grévistes. Pour rappel, la durée d’un contrat de mission pour un poste en intérim ne peut excéder les 18 mois avec son renouvellement inclus. Mais, il est possible d’en trouver en 24 mois cas pour des cas particuliers.
Le contrat de travail temporaire est un contrat qui est établi entre l’ETT et le salarié intérimaire. Il doit être adressé au salarié intérimaire dans les 2 jours ouvrables qui suivent sa mise à disposition sinon le salarié intérimaire est requalifié en CDI. La durée maximale d’un CTT, en prenant en compte des renouvellements est de 18 mois. Si l’ETT rompt un contrat hors faute grave ou cas de force majeure, elle se doit de proposer un nouveau contrat à l’intérimaire dans un délai de 3 jours ouvrables. Si l’ETT et l’EU ne suivent pas les dispositions légales, elles encourent des sanctions pénales. contrat A/Mentions obligatoires du contrat Le CTT doit comporter les mentions suivantes CT Celles qui figurent sur le contrat de mise à disposition notamment motif, terme, caractéristiques particulières du poste, lieu, horaire, nature des EPI, rémunération de la mission ; La qualification professionnelle ainsi que le statut cadre» du salarié intérimaire et du permanent en cas de remplacement mars 2007, n° ; Les modalités de la rémunération due au salarié salaire de base, primes, IFM, ICCP, frais professionnels ; Une clause de rapatriement du salarié à la charge de l’ETT, si la mission est exécutée hors métropole. Cette clause devient caduque lorsque le salarié rompt le CTT ; Le nom et l’adresse de la caisse de retraite complémentaire et de l’organisme de prévoyance ; La mention selon laquelle l’embauche du salarié par l’EU à l’issue de la mission n’est pas interdite ». En cas de non respect de ces formalités par l’ETT, le CTT se transforme en CDI car il ne fait plus parti de la législation du travail temporaire. B/Mentions facultatives du contrat Les mentions facultatives à notifier par exemple La période d’essai ; La possibilité pour le salarié de se faire livrer une attestation Pôle emploi ; L’URSSAF auprès de laquelle est adressée la déclaration préalable à l’embauche DPAE ». C/Signature du contrat L’ETT peut envoyer le CTT par mail si elle souhaite garder un preuve supplémentaire mais il est préférable qu’un contrat au format papier soit aussi envoyé car la jurisprudence impose la signature du CTT par le salarié intérimaire ». Si le contrat n’est pas signé, le salarié intérimaire peut demander à être requalifié en CDI. en pratique de contrat A/Début du contrat Lorsque le CTT a pour but de remplacer un salarié absent ou si un contrat a été suspendu, le CTT peut prendre effet avant l’absence de la personne remplacée afin de lui communiquer certaines consignes. B/Période d’essai La période d’essai d’un CTT ne peut dépasser 2 jours pour un contrat inférieur ou égal à 1 mois ; 3 jours pour un contrat compris entre 1 et 2 mois ; 5 jours pour un contrat supérieur à 2 mois ; Lorsqu’un CTT est conclu sans terme précis, la période d’essai est calculée sur la durée minimale fixée dans le contrat ». Les jours d’essai sont comptés en jour ouvrés donc travaillés et rémunérés. C/Report du terme Lorsqu’un salarié a été remplacé ou dont le contrat a été suspendu, le terme du contrat peut être reporté jusqu’au surlendemain du retour du salarié qui a été absent afin que le salarié intérimaire puisse communiquer toutes les consignes nécessaires pour le bon fonctionnement de l’entreprise. Cette clause doit être notifiée dans le contrat de mise à disposition et le CTT ou dans les avenants de renouvellement. Le salarié intérimaire à la fin de sa mission a droit à une IFM égale à 10% de sa rémunération totale brute. à terme précis A/Durée du contrat La durée maximale du contrat est de 18 mois ou renouvelée deux fois maximum. Cette durée maximale ne s’applique pas à certains recours qui ont des durées différentes 3 mois, en cas de conclusion d’un CTT pour accroissement temporaire d’activité ATA sur des postes de travail concernés par un licenciement économique dans un établissement. 8 mois, en cas d’emploi à caractère saisonnier ; 9 mois, en cas d’attente de l’entrée en service effective d’un salarié recruté par CDI pour la réalisation de travaux urgents nécessités par des mesures de sécurité ; 24 mois, en cas de mission exécutée à l’étranger en cas de remplacement d’un salarié dont le départ définitif précède la suppression de son poste ; en cas de survenance d’une commande exceptionnelle à l’exportation dont l’importance nécessite la mise en œuvre de moyens quantitativement ou qualitativement exorbitants de ceux que l’EU utilise ordinairement. Dans ce cas, la durée minimale du CTT est de 6 mois ». Les conditions de renouvellement doivent être stipulées dans le contrat. Le salarié a le droit de refuser le ou les renouvellements. L’IFM est due sauf si les modalités du renouvellement ont été notifiées dans le contrat. B/La souplesse La souplesse doit être prévue dans le contrat de mise à disposition et le CTT ou, le cas échéant, dans son avenant de renouvellement ». art. CT. Si la souplesse est prévue dans le contrat et que le salarié intérimaire rompt son contrat durant la période de souplesse, c’est une rupture anticipée du contrat et l’IFM n’est pas due. à terme imprécis ou à durée minimale » A/Durée du contrat Un CTT à terme imprécis peut être conclu dans les cas suivants art. CT Remplacement d’un salarié absent ou dont le contrat de travail est suspendu ; Attente de l’entrée en service effective d’un salarié recruté par CDI 9 mois maximum ; Emplois à caractère saisonnier ou d’usage constant ; Remplacement du chef d’entreprise ». Une durée minimale doit être notifiée dans un contrat à terme imprécis. Le CTT prend fin lorsque le motif pour lequel le contrat a été conclu prend fin. Par exemple, lorsque la personne qui devait être remplacée reprend son poste. B/La souplesse Il n’y a pas de période de souplesse pour les contrats à terme imprécis. Lors d’un remplacement, il est possible de reporter le terme jusqu’au surlendemain du jour du retour de la personne remplacée pour les CTT conclus à terme imprécis. des contrats Au terme d’un CTT ou d’un CDD, le salarié intérimaire ne peut travailler pour un même poste avant l’expiration d’un délai de carence. Le délai de carence s’applique uniquement si les successions de contrats portent sur le même poste de travail. Le changement de motif, de qualifification ou de lieu de travail ne permet pas d’être dispensé d’un délai de carence ». Calcul du délai de carence Durée totale du CDD renouvellements inclus Durée du délai de carence < à 14 jours la moitié de la durée du CDD à partir de 14 jours 1/3 de la durée du CDD Le non respect du délai de carence peut entraîner une amende de 3 750€ à la charge de l’EU art. L1255-9 CT d’un contrat A/Rupture du contrat par l’ETT Hors période d’essai ou de souplesse, l’ETT ne peut pas rompre le CTT avant le terme prévu, sauf faute grave ou lourde du salarié, ou force majeure » art. CT. Force majeure La force majeure est un évènement à la fois imprévisible, irrésistible insurmontable, et extérieur aux personnes concernées elles ne sont responsables. La maladie du salarié, l’ouverture d’une procédure collective dans l’entreprise, la rupture d’un contrat de mise à disposition ainsi que les difficultés économiques rencontrées par l’EU ne sont pas considérées comme un cas de force majeure. Faute grave et lourde En cas de rupture du contrat pour faute grave ou lourde du salarié, l’ETT doit respecter la procédure disciplinaire. Celle-ci consiste à convoquer le salarié intérimaire à un entretien préalable et de notifier la rupture anticipée pour faute grave. La notification de la rupture anticipée ne peut intervenir moins de deux jours ouvrables après le jour de l’entretien. Le salarié intérimaire ne peut se faire assister d’un conseiller extérieur à l’ETT car la rupture n’est pas un licenciement. Autres causes de rupture La rupture anticipée du contrat entraîne certaines obligations pour l’ETT telles qu’un nouveau contrat prenant effet dans un délai maximum de 3 jours ouvrables, rémunérés, et d’une durée au moins équivalente à celle qui restait à courir au titre du contrat précédent art. L. 1251-26 CT ». Aucune modification ne doit être portée à ce nouveau contrat concernant, la qualification, le salaire, les horaires de travail ou le temps de transport. B/Rupture du contrat par le salarié intérimaire Le salarié intérimaire peut rompre légitimement son contrat de mission avant le terme prévu, s’il justifie d’une embauche en CDI art. CT ». La rupture Cette rupture de contrat par le salarié doit être notifiée par écrit. Le préavis Le préavis doit être effectué à compter de la notification de la rupture du contrat. Pour les contrats de date à date », le préavis est fixé à un jour par semaine. Pour les contrats sans terme précis, la durée du contrat à prendre en compte est celle relative à la période de travail déjà effectuée ». Le préavis d’un salarié intérimaire ne peut être inférieur à un jour et supérieur à deux semaines. L’IFM Lorsqu’un salarié intérimaire rompt son contrat, l’IFM n’est pas due. L’abandon de poste Un abandon de poste ne caractérise pas une démission. L’ETT peut sanctionner l’absence en notifiant une mise à pied, un blâme, un avertissement… ou en engageant une procédure de rupture anticipée de CTT pour faute grave. sanctions concernant la requalifacation en CDI L’ETT et l’EU sont liées concernant le CTT et encourent des sanctions civiles et pénales lors du non respect des contrats des salariés intérimaires.
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