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Leschampionnats du monde font participer tout les joueurs qui sont qualifiés pour cette compétition et de tout les pays possibles. La coupe du monde regroupe 12 joueurs à
Ladifférence entre un Grand Prix et une coupe du monde. Les points dans le ranking comptent un peu plus avec un coefficient de 1,5 au lieu de 1 pour la coupe du monde.
Lenombre de participants est nettement plus élevé, en raison d'un total de 32 équipes prennent part, alors que le droit de jouer seulement 16 équipes aux Jeux olympiques. Pour la Coupe du monde de football, les équipes doivent se
Cemercredi, la 15e édition des Jeux paralympiques sera lancée à Rio. Pour l’occasion, coup d’œil sur les principales différences entre les Jeux olympiques.
ISPOGood News : champion du monde de judo allemand, transgenre aux Jeux olympiques, le basketteur Zipser survit à une hémorragie cérébrale, la durabilité dans l'industrie de l'outdoor, le sport comme antidépresseur.
LesJOJ d’été et d’hiver durent respectivement 12 et 10 jours alors que les JO peuvent durer jusqu’à 16 jours. Le programme des sports repose sur celui des Jeux Olympiques, avec 28
Lorsquele BMX a été approuvé comme discipline olympique en 2006 pour les Jeux de Beijing 2008, Niek Kimmann avait dix ans à peine. Dix ans plus tard, il décroche une médaille aux JOJ et devient champion du monde. Niek Kimmann était arrivé aux JOJ de Nanjing 2014 tout juste après avoir gagné les épreuves masculines de course et de
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Ceux qui étaient venus faire le contre-la-montre à fond, avec ou non un objectif de médaille, et ceux qui ont pris cela comme un devoir national ou une séance d’entraînement à haute intensité. Il est vrai qu’une partie des participants n’est pas spécialiste de l’épreuve et qu’ils n’avaient aucune chance d’espérer un podium. Mais c’est aussi cela le charme de l’olympisme, une course à deux vitesses. Une course au sein de laquelle les Français engagés, Alexis Vuillermoz et Julian Alaphilippe, n’auront jamais pu faire illusion. Un clan tricolore du contre-la-montre orphelin de Thibaut Pinot, seule réelle chance de médaille sur la discipline – sans oublier le médaillé de bronze des Mondiaux de Richmond et retraité à la fin de la semaine Jérôme Coppel – qui sera finalement présent avec deux de ses coureurs au départ mais n’aura pas le loisir de faire trembler quiconque. Surtout pas un Helvète prêt à s’envoler vers d’autres horizons dans quelques semaines. Fabian Cancellara Suisse avait annoncé à la fin de la saison dernière que l’année 2016 sera sa dernière dans les pelotons professionnels. Dans le même temps, il avait précisé que les Jeux de Rio ne l’intéressaient pas et qu’il ne se voyait pas être du voyage. Ce soir, le Suisse doit se ravir d’avoir changé d’avis. Personne ne l’attendait sur la plus haute march et les observateurs le voyaient concourir histoire de faire un ultime baroud d’honneur, un dernier long chrono qu’il aime tant et qui lui a valu une longue hégémonie sur la spécialité. Qu’ils sont loin pourtant ses quatre titres de champion du monde, acquis de 2006 à 2010. Huit ans déjà ont passé depuis son titre olympique de Pékin. Sa dernière victoire dans un contre-la-montre de plus de quarante kilomètres au niveau international remontait à presque six ans et son dernier titre de champion du monde. Autant dire qu’il était loin d’être favori dans un exercice où petit à petit il a laissé ses adversaires s’immiscer dans son royaume chronométré. Tony Martin Allemagne est de ceux-là. Il avait détrôné Spartacus pour devenir triple champion du monde à sa suite. Mais aujourd’hui l’Allemand était dans un de ces jours où les jambes ne répondent pas et même en mettant du braquet – et Martin à l’habitude des gros braquets – il lui était impossible d’avancer à sa vitesse habituelle. Le parcours escarpé ne l’avantageait pas et ses places de cinquième au premier pointage intermédiaire et de dixième à la mi-course lui ont vite fait comprendre qu’il faudrait revenir dans quatre ans pour une nouvelle médaille. Il termine douzième à plus de trois minutes du vainqueur. Une des personnes amenée à régner ces prochaines années sur la discipline se nomme Tom Dumoulin Pays-Bas. Bien qu’il court encore après un titre de champion du monde, le coureur de 25 ans faisait parti des favoris, lui qui apprécie les tracés vallonnés. Régulier dans son effort, le Néerlandais échoue une fois de plus dans une grande compétition et prend la médaille d’argent. Une médaille d’argent qui aurait très bien pu revenir à Rohan Dennis Australie si le premier maillot jaune du Tour 2015 n’avait pas brisé son guidon. Obligé de changer de vélo, il vient échouer à 23 secondes de la deuxième place mais surtout à 8 secondes de la troisième. Beaucoup moins que la perte de temps occasionnée par son incident mécanique. Ce fait de course profite à Christopher Froome qui prend la médaille de bronze. La victoire était son grand objectif de la saison à la suite d’un Tour de France pleinement réussi mais le Britannique montre à Rio qu’il ne peut pas tout maîtriser au point de gagner à chaque fois. Relativement prudent dans les descentes où la pluie est venue tremper certains virages, la route tantôt sèche tantôt mouillée ne l’a pas avantagé et le natif de Nairobi n’a jamais été dans la course. D’abord 7ème au premier pointage, il grappille quelques places pour atterrir sur la troisième marche du podium. Comme il y a quatre ans à Londres. C’est à ce premier pointage que Cancellara a montré à tout le monde qu’il s’apprêtait à faire quelque chose de grand. En tête après dix kilomètres, on le pense bien parti quand on s’aperçoit qu’il a rétrogradé au classement un quart d’heure plus tard, 4ème et déjà plus de 20 secondes à combler. Le Suisse est parti trop fort c’est sûr. Mais dans le deuxième tour de circuit le Bernois remet les pendules à l’heure et reprend la tête pour ne plus la lâcher. Il augmentera même son avance pour repousser Tom Dumoulin à 47 secondes sur la ligne. Ses larmes après l’arrivée en disent long sur son émotion et sur la grandeur de ce cadeau de départ qu’il s’est offert. Comme pour montrer à cette génération avec qui il s’est si souvent battu lorsqu’il se présentait sur la rampe de lancement que la place est libre. Mais qu’une dernière fois il allait mettre une médaille à son coup. Pour ponctuer d’or un palmarès qui n’en avait pas besoin. Classement 1. Fabian Cancellara Suisse les 54,6 km en 1h12’15 45,3 km/h 2. Tom Dumoulin Pays-Bas à 47 sec. 3. Christopher Froome Grande-Bretagne à 1’02 » 4. Jonathan Castroviejo Espagne à 1’06 » 5. Rohan Dennis Australie à 1’10 » 6. Maciej Bodnar Pologne à 1’50 » 7. Nelson Oliveira Portugal à 2’00 » 8. Ion Izaguirre Espagne à 2’06 » 9. Geraint Thomas Grand-Bretagne à 2’37 » 10. Primoz Roglic Slovénie 2’40 »
Distingués par leur exploit exceptionnel, ils ont marqué l’histoire du sport de haut niveau aux yeux au monde et ont fait de leur exploit une fierté pour leur pays d’origine et du continent. Découvrez notre sélection des athlètes africains hors du commun Hassiba BOULMERKA – ALGERIE Grande spécialiste des courses de demi-fond . Cette immense athlète fut la première sportive, hommes et femmes confondus à remporter la médaille d’or olympiques lors des Jeux Olympiques de Barcelone en 1992. La native de Constantine est indéniablement, la première médaillée d’or pour le sport algérien et africain. Hicham EL GUERROUY – MAROC Véritable star dans sa discipline et en dehors des pistes. Hicham EL GUERROUY a marqué ce sport de sa foulée légendaire, mais aussi de ses records 1500m et 2000m. Multiple champion du monde, il sera dans le panthéon de ce sport en 2004 aux Jeux Olympiques, deux médailles d’or sur 1500m et 5000m. Haile GEBRESELASSIE – ETHIOPIE Courir pour se rendre à l’école, puis courir pour atteindre les sommets. Monsieur GEBRESELASSIE a tout raflé sur son passage 8 fois champion du monde ; recordman du 2000 m; 2 fois médaillé d’or aux Jeux Olympiques. Son sourire et sa classe ont illuminé le monde du sport. Franckie FREDERICKS – NAMIBIE Franckie FREDERICKS, éternel second avec une foulée parfaite et une technique irréprochable. Il est le Poulidor Africain toujours bien présent dans les grands rendez-vous mais toujours second. Il reste le premier dans nos cœurs. CASTER SEMENYA – AFRIQUE DU SUD Courir pour être une femme. Décriée, discriminée, Caster SEMENYA n’en est pas moins une championne. Malgré les polémiques, elle sort chaque fois plus forte. Double championne olympique et triple championne du monde, elle est une référence dans ce sport. Mais surtout, une preuve de courage pour tous ceux qui se battent avec leur différence. Nourredine MORECELI – ALGERIE Spécialiste de demi-fond, il remporte tout sur son passage au championnat du monde et d’Afrique. Il reçoit le Graal en 1996 à Atlanta Etats-Unis, il devient le premier homme algérien, médaillé olympique. Il obtient en 1994, le titre d’athlète de l’année, lui permettant de donner un attrait de ce sport. Françoise MBANGO – CAMEROUN Oubliez Samuel ETO’O ET Roger MILLA , laissez place à la seule athlète homme et femme confondu à avoir remporté un titre olympique en 2004 à Athènes Grèce et en 2008 à Pékin Chine. Cette championne a fait retentir aux oreilles du monde entier, l’hymne du Cameroun dans sa discipline le triple saut. Murielle AHOURE – COTE D’IVOIRE Belle, féline pétillante non Murielle AHOURE n’est pas un top model maisbien une athlète de haut niveau qui a su au fil des années se hisser au rang des plus haut. Championne du Monde en salle sur 60m en 2018, ces prochains Jeux Olympiques seront l’occasion de prendre l’or. Taoufik MAKLOUFI – ALGERIE Il est en train d’écrire l’une des plus belles pages du sport algérien. Champion d’Afrique, vice champion du monde et le titre suprême la médaille d’or aux Jeux Olympiques de Londres. Partout, où il est passé, il a marqué les esprits. Et vous, citez nous votre top 3 des vos athlètes africains préférés ? Commentez sous cet article et taguez-nous également sur instagram lemondeduwax
La compétition aura lieu ce week-end à Fukuoka Dans le calendrier du judo japonais, le All Japan Championships » a toujours fait figure de juge de paix pour les sélections internationales de l’été championnats du monde ou Jeux olympiques. Le principe est simple et inébranlable qui gagne est sélectionné, abstraction faite de cas très exceptionnels en 2008, Tomoko Fukumi bat Ryoko Tamura-Tani mais c’est la septuple championne du monde des -48kg qui ira à Londres décrocher sa quatrième médaille olympique. Cet axiome est-il pour autant toujours valable ? Poser la question c’est un peu y répondre. En effet, deux facteurs ont remis en cause, sans totalement l’invalider, l’évidence que ces championnats devaient servir de test ultime pour sélectionner les différents combattants nippons. D’une part, une hiérarchie nationale souvent plus claire grâce à une participation internationale accrue et à sa traduction mathématique, la ranking list. D’autre part, les critiques nées du fiasco londonien. Mais quelques rappels au préalable les championnats du Japon voient s’affronter les huit meilleurs judokas de l’Archipel, en élimination directe, au début du mois d’avril, à Fukuoka. Un événement auquel participeront tous les meilleur judokas japonais, y compris ceux absents du circuit international depuis la fin 2015 Takenori Nagase, Mashu Baker, Ryonosuke Haga, Misato Nakamura, etc. Quels sont les enjeux explicites de cet événement ? Outre une victoire de prestige, remporter cette compétition ne décidera sans doute d’une place de titulaire sur les tatamis cariocas que pour une poignée de catégories. Mettons déjà de côté les catégories lourdes +78kg et +100kg où tout se jouera lors de la Coupe de l’Impératrice pour les féminines et pour le Zen Nihon pour les garçons. Actuellement, Megumi Tachimoto et Hisayoshi Harasawa sont en position favorable pour embarquer dans l’avion qui les emmènera vers le Brésil, mais rien n’est définitivement acquis. D’autres catégories semblent déjà réglées » du fait des performances mondiales de leurs titulaires lors des championnats du monde d’Astana ou sur le circuit international. Une donnée que les deux entraîneurs généraux Kantoku, Kosei Inoue pour les hommes et Mitsutoshi Nanjo pour les femmes prennent en compte bien plus conséquemment que leurs prédécesseurs, suite à la Berezina londonienne. Flashback en 2012, la sélection nipponne s’organise encore sur le vieux » modèle de la toute-puissance de ce All Japan Championships. Et cela donne, pour ne prendre qu’un exemple, la sélection de Tomoko Fukumi en -48kg, vainqueur, au détriment d’une Asami, éliminée à son 1er combat mais qui revenait de blessure, double championne du monde 2010 et 2011, ultra-dominatrice sur le plan international, et qui retiendra comme elle le pourra ses larmes lors de la présentation officielle de l’équipe japonaise pour Londres devant des caméras qui ne la lâcheront pas. Une fidélité aveugle à un système de sélection qui, après les JO de 2012, fut contestée. Des critiques qu’Inoue et Nanjo ont tout l’air d’avoir parfaitement intégrée depuis leur entrée en fonction. Chez les garçons, Takenori Nagase -81kg, Mashu Baker -90kg, Ryonosuke Haga -100kg, qui sera absent ce week-end, remplacé par Ryutaro Goto, champion du monde juniors 2014 pourront aborder cette compétition l’esprit tranquille. Leur titularisation est acquise. Pour les -66kg et les -73kg, un léger doute pouvait encore subsister, mais Paris et Düsseldorf les ont très probablement levés. Masahi Ebinuma -66kg, battu à Astana par Rishod Sobirov a fait un pas plus que décisif vers sa titularisation en remportant le Grand Chelem parisien. Alors certes, Tomofumi Takajo a gagné Tokyo en 2015 mais le palmarès et la régularité sans faille hormis son accident kazakh du bonze de Meiji pèsent d’un poids presque trop évident pour ne pas le voir participer à ses seconds JO. Shohei Ono fait lui face à une problématique différente malgré sa victoire époustouflante au Kazakhstan, le joyau de Tenri ne devait montrer aucun signe de méforme face à la concurrence non pas d’un mais de deux prétendants Riki Nakaya, vice-champion du monde et vice-champion olympique et Hiroyuki Akimoto, revenu dans la course avec ses victoires en Grand Chelem Paris et Tokyo 2015, 3ème à Paris en 2016. Sa démonstration allemande a définitivement enterré, est-on pensé de croire, toute contestation possible quant au fait que l’un des plus beaux judokas actuels soit du voyage à Rio. Reste donc une seule catégorie où l’enjeu sera réel. Les -60kg. Alors Naohisa Takato ou Toru Shishime ? Les deux ont remporté le Grand Chelem de Paris 2015 pour Takato, 2016 pour Shishime. Mais Takato s’est imposé aussi à Tokyo. Ses problèmes de discipline ont l’air d’avoir été réglés et la machine Takato » semble repartir de plus belle. Un judoka atypique, sur le tatami comme en dehors. Mais diablement efficace, avec toujours une botte secrète que ses adversaires découvrent une fois le tapis collé dans le dos. Shishime, lui, a fini en bronze à Astana. Même médaille à Tokyo. Un judoka à l’allure nonchalante, au visage statufié, extrêmement avare de ses émotions. Un judo plus classique que Takato uchi-mata, o-soto-gari, ippon-seoi et un kumi-kata classique décrit comme l’un des plus puissants de la catégorie. Un beau duel en perspective. Chez les filles, la donne est plus floue avec au moins trois catégories les -48kg, -70kg et -78kg. Misato Nakamura -52kg, Kaori Matsumoto -57kg, Miku Tashiro -63kg peuvent déjà mettre leurs judogi dans la valise. La 1ère est championne du monde en titre et vainqueur à Tokyo, la seconde est championne du monde et championne olympique en titre et a époustouflé avec un travail au sol d’une facture exceptionnelle à Düsseldorf. La troisième, a défaut de victoire est d’une régularité métronomique pour accrocher le podium deux fois 3ème aux championnats du monde, 3ème à Tokyo en 2015, 2ème à Paris il y a un mois. Trois duels seront donc à observer ce premier week-end d’avril en -48kg, qui entre Haruna Asami et Ami Kondo ? En -70kg, Chizuru Arai ou Haruka Tachimoto ? En -78kg, le jeu pourrait même être encore plus ouvert entre Mami Umeki, jeune championne du monde en titre mais dans le dur depuis Astana 5ème à Tokyo, non classé à Paris, Ruika Sato 5ème à Paris et Shori Hamada 1ère en Chine mais 7ème à Tokyo, les trois nipponnes actuellement dans les points pour les JO. Navigation de l’article
différence entre jeux olympiques et championnat du monde